Dimanche 6 mai, petit tour au vintage market à
Bruxelles. Tous les premiers dimanche du mois est organisé ce grand marché dans
le bâtiment du K-Nal. Le Brussels vintage market (bvm) soufflera au mois
d’octobre ses deux bougies.
Charlotte et Morgan sont les deux
organisatrices de l’événement, la première est responsable du vintage et la
deuxième des créateurs, qui viennent aussi le dimanche exposer leur travail au
grand public.
L’aventure bvm a commencé à Madame Moustache
pour ensuite continuer au K-Nal, endroit plus adapté pour l’été avec sa grande
terrasse. C’est ce que Charlotte aime à propos du bvm, « on s’adapte aux
endroits puis on a notre clientèle qui nous suit ». Les clients sont
toujours là et les vendeurs aussi, créateurs, collectionneurs privés ou
magasins vintage (Fox Hole et Episode entre autres).
Le K-Nal est un endroit plutôt bien adapté
pour ce genre d’évènements, même si les organisatrices ont connu quelques
imprévus avec les travaux qui ont lieu au K-Nal pour le moment. Les débuts du
bvm n’ont pas été évidents. Charlotte et Morgan n’ont pas reçu d’aides de
Bruxelles, elles ont vite été découragées par le nombre de démarches et ne
savaient pas non plus à qui s’adresser car le nombre d’organismes est trop
important. « C’est Bruxelles qui aurait du venir à nous », se
défendent Charlotte et Morgan.
A l’époque de Madame Moustache les sponsors ne
couraient pas les rues, contrairement à maintenant (avec Elle Belgique et Pure
FM par exemple).
D’où leur est est venue cette idée d’organiser
un marché vintage ? A l’époque ils étaient trois à l’origine du projet, et
Kristen (qui a maintenant quitté le bvm) s’est inspiré d’un concept londonien
où les stands sont installés dans la rue, même sous la pluie. Charlotte et
Morgane recherchaient quelque chose de plus adapté à Bruxelles, « un truc
plus cosy, plus confort, où on peut boire et manger ».
Dès sa première édition, le bvm a connu un
franc succès, « c’est le premier marché de ce genre qui s’est
imposé ». Le vintage attire du monde mais pour Charlotte c’est surtout le
fait de « fouiner », d’être à la recherche de LA pièce unique qui
plaît à la clientèle.
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