dimanche 6 mai 2012

Les aventures du Brussels vintage market


Dimanche 6 mai, petit tour au vintage market à Bruxelles. Tous les premiers dimanche du mois est organisé ce grand marché dans le bâtiment du K-Nal. Le Brussels vintage market (bvm) soufflera au mois d’octobre ses deux bougies.

Charlotte et Morgan sont les deux organisatrices de l’événement, la première est responsable du vintage et la deuxième des créateurs, qui viennent aussi le dimanche exposer leur travail au grand public.
L’aventure bvm a commencé à Madame Moustache pour ensuite continuer au K-Nal, endroit plus adapté pour l’été avec sa grande terrasse. C’est ce que Charlotte aime à propos du bvm, « on s’adapte aux endroits puis on a notre clientèle qui nous suit ». Les clients sont toujours là et les vendeurs aussi, créateurs, collectionneurs privés ou magasins vintage (Fox Hole et Episode entre autres).

Le K-Nal est un endroit plutôt bien adapté pour ce genre d’évènements, même si les organisatrices ont connu quelques imprévus avec les travaux qui ont lieu au K-Nal pour le moment. Les débuts du bvm n’ont pas été évidents. Charlotte et Morgan n’ont pas reçu d’aides de Bruxelles, elles ont vite été découragées par le nombre de démarches et ne savaient pas non plus à qui s’adresser car le nombre d’organismes est trop important. « C’est Bruxelles qui aurait du venir à nous », se défendent Charlotte et Morgan.
 A l’époque de Madame Moustache les sponsors ne couraient pas les rues, contrairement à maintenant (avec Elle Belgique et Pure FM par exemple).
D’où leur est est venue cette idée d’organiser un marché vintage ? A l’époque ils étaient trois à l’origine du projet, et Kristen (qui a maintenant quitté le bvm) s’est inspiré d’un concept londonien où les stands sont installés dans la rue, même sous la pluie. Charlotte et Morgane recherchaient quelque chose de plus adapté à Bruxelles, « un truc plus cosy, plus confort, où on peut boire et manger ».

Dès sa première édition, le bvm a connu un franc succès, « c’est le premier marché de ce genre qui s’est imposé ». Le vintage attire du monde mais pour Charlotte c’est surtout le fait de « fouiner », d’être à la recherche de LA pièce unique qui plaît à la clientèle.

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